Titre A Phase 3 Multicenter, Open-Label, Randomized, Controlled Study of Oral Infigratinib Versus Gemcitabine With Cisplatin in Subjects With Advanced/Metastatic or Inoperable Cholangiocarcinoma With FGFR2 Gene Fusions/Translocations.
Protocole ID The PROOF Trial
ClinicalTrials.gov ID NCT03773302
Type(s) de cancer Voies biliaires
Phase Phase III
Stade Maladie avancée ou métastatique
Type étude Traitement
Médicament Infigratinib vs Gemcitabine + Cisplatine
Institution CIUSSS DU CENTRE-OUEST-DE-L'ILE-DE-MONTREAL
   HOPITAL GENERAL JUIF SIR MORTIMER B.DAVIS
      3755 rue de la Côte Ste. Catherine, Montréal, QC, H3T 1E2
Ville Montréal
Investigateur(trice) principal(e) Dr Petr Kavan
Coordonnateur(trice) Mehak Verma
 514-340-8222 poste 23674
Statut Actif en recrutement
Critètes d'éligibilité
  • Cholangiocarcinome localement avancé ou métastatique non résécable confirmé par examen histologique ou cytologique; les participants atteints d’un cancer de la vésicule biliaire ou d’un carcinome de l’ampoule de Vater ne sont pas admissibles.
  • Fusions/translocations documentées du gène FGFR2 (Fibroblast Growth Factor Receptor 2)
  • Échantillon de tissu archivé disponible avec suffisamment de tissu tumoral pour permettre une analyse moléculaire centrale des fusions/translocations de FGFR2; si aucun échantillon de tissu archivé n’est disponible, une nouvelle biopsie de la tumeur (réalisée avant la répartition aléatoire) pourrait être soumise à la place.
  • Indice fonctionnel ECOG (Eastern Cooperative Oncology Group) de 0 ou 1
  • Capacité à avaler et à garder le médicament pris par voie orale
  • Volonté à éviter une grossesse ou la conception d’un enfa
Critètes d'exclusion
  • Traitement anticancéreux à action générale antérieur pour le cholangiocarcinome localement avancé ou métastatique non résécable; un traitement néoadjuvant ou adjuvant antérieur est permis si la dernière dose a été administrée plus de 6 mois avant le début de l’étude.
  • Antécédents de greffe de foie
  • Traitement actuel ou antérieur par un inhibiteur de la protéine kinase activée par le mitogène (MEK) ou un inhibiteur sélectif de FGFR
  • Dysfonction ou maladie gastro-intestinale (GI) pouvant altérer de manière significative l’absorption de l’infigratinib par voie orale (telles une maladie ulcéreuse, des nausées incontrôlables, des vomissements, de la diarrhée, le syndrome de malabsorption, ou une résection de l’intestin grêle)
  • Signes actuels de perturbations endocriniennes de l’homéostasie du calcium/phosphate, par exemple un trouble des glandes parathyroïdes, des antécédents de parathyroïdectomie, de lyse tumorale, de calcinose tumorale, etc.
  • Antécédents et/ou signes actuels de calcification étendue dans les tissus, y compris, mais sans s’y limiter, les tissus mous, les reins, les intestins, le myocarde, l’appareil vasculaire et les poumons, à l’exception des ganglions lymphatiques calcifiés, des calcifications mineures du parenchyme pulmonaire et des calcifications asymptomatiques dans les artères coronariennes
  • Signes actuels de trouble de la cornée ou de la rétine/kératopathie
  • Patients consommant ou prévoyant consommer des aliments connus pour être des inducteurs ou des inhibiteurs puissants du CYP3A4, ou recevant de façon continue, ou prévoyant recevoir, des médicaments connus pour être des inducteurs ou des inhibiteurs puissants du CYP3A4 ou des médicaments qui augmentent la concentration sérique du phosphore et/ou du calcium
  • Maladie cardiaque cliniquement significative ou non maîtrisée
  • Accident ischémique transitoire ou accident vasculaire cérébral (AVC) récent (≤ 3 mois avant la première dose du médicament à l’étude)
  • Perte auditive grave
  • Neuropathie grave
  • Antécédents d’une autre tumeur maligne primaire au cours des 3 années précédant l’étude, à l’exception du carcinome in situ du col de l’utérus traité adéquatement ou d’un cancer de la peau non mélanique ou d’une autre tumeur maligne traitée de manière curative qui ne devrait pas nécessiter de traitement
  • Grossesse ou allaitement
  • Maladie présentant une instabilité microsatellitaire élevée (MSI-H) connue nécessitant un autre traitement non à l’étude, selon l’investigateur se fondant sur les normes de soins
  • Hypersensibilité connue à la gemcitabine, au cisplatine, aux agents hypocalcémiants, à l’infigratinib, ou à leurs excipients